Monbazarvertshop.com » Découvrez les bonnes astuces Administration et les produits recommandés » Loi de finance Pinel : pourquoi ne pas sauter le pas ?

Loi de finance Pinel : pourquoi ne pas sauter le pas ?

Loi Pinel : comment optimiser votre investissement immobilier grâce aux nouvelles mesures de la loi de finance ?

On pense tous que nos impôts vont rester indemnes et qu’ils ne pourront jamais diminuer, juste augmenter, et bien c’est faux et nous vous apportons la preuve : Grâce à la loi Pinel, qui est un dispositif fiscal paru en 2015 par l’ancienne ministre du logement Sylvia Pinel, qui vous donnera donc droit à une réduction dans vos impôts à condition que vous investissez dans une ville éligible et ce dans un bien immobilier locatif uniquement. Utile non ? Retrouvez dans notre article notre analyse sur les enjeux.

Tout d’abord on commence par une nouvelle rassurante, le dispositif est valide jusqu’à fin 2024. Mais les taux de réduction d’impôt seront certainement réduits à partir de cette date. Donc l’investissement dans un logement neuf est primordial. En effet c’est l’article 168 de la loi de finance dispositif Pinel jusqu’au 31 décembre 2024.

loi de finance pinel

Loi de finance Pinel : conditions pour investir dans ce dispositif

Pour investir en loi de finance Pinel, voici un ensemble de conseils et de conditions. Si vous avez besoin de conseil en droit immobilier, n’hésitez pas à contacter le cabinet d’avocat Judicimes qui exerce régulièrement dans le domaine immobilier lors de projet de construction et autres …

À suivre pour réaliser une bonne optimisation fiscale :

  • D’abord ne jamais dépasser 300 000 €, qui est le montant pour investir dans un bien locatif.
  • Choisir une ville éligible parmi les zones présentées.
  • Toujours choisir un bien neuf car il ne comporte ni de frais de notaire, ni de frais supplémentaires de rénovation par exemple.
  • Le montant fixé à vos locataires doit lui aussi ne pas dépasser un certain seuil.
  • En suivant ces consignes vous aurez droit à une diminution allant de 12 jusqu’à 21% en fonction de votre durée de location.
Lire :  Taux immobilier : qu’est-ce qu’un délai de capacité de remboursement ?